Le(s) fardeau(x) : De la folie et de l'abandon .

Crédit PhotoArtisttik Africa

C’est un « fardeau » qu’on ne nomme pas, mais dont on sent la présence. On en sent la présence à travers les hurlements de la Femme qui ouvre ce spectacle en courant parmi les spectateurs, en s’agitant et remuant ses bras : « déchargez-moi ! ». On en sent la présence à travers les lamentations du Fou qui, assis au milieu de la scène, entouré par un tas d’ordure, d’aluminium, des bidons, des fagots : « chargez-moi ! La politique est dangereuse ».

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