20 artistes contemporains  face aux défis de ‘’L’homme au centre des intérêts’’

Les manifestations socioculturelles de la deuxième édition du Festival des arts de la rue d’Assinie (Fara) ont effectivement débuté le 04 novembre dernier au siège de la fondation ‘’La maison de l’artiste’’ avec vingt artistes contemporains, venus de dix  pays d’Afrique et d’Europe,  qui créent des œuvres  face aux défis de ‘’L’homme au centre des intérêts’’.

 

Venus du Bénin, du Burkina-Faso, du Caméroun , de la Côté d’Ivoire , du Congo, de la France, du Mali, de la Suisse et du Tchad, les artistes Friggens Tossou alias Toss Frigg, Elvis Bazongo, Allé Assi Hérert, Do Rock Anagbo, Landry N’Zoué, Konaté Souleymane, Yapaud Patrick, Sungo Songo, Makaya Elvabel, M’bela Glodi, Joyce Tschamala, Roussel Fabrice, Charles Eric Egzo, Magassa Famakan, Michel Charmasson, Tony Tones, et Guidimbaye Appolinaire alias Doff fusionnent leurs énergies, échangent des idées et s’organisent de manière stratégique afin de laisser leurs traces artistiques à la fondation ‘’La maison de l’artiste’’.

Dans leurs diverses créations (Sculptures, toiles, visuels et in-situ), ces artistes contemporains en résidence orientent leurs œuvres autour de la thématique ‘’L’homme au centre de nos intérêts’’. Selon Issa Koné, président du comité d’organisation du Fara, ce thème est conçu pour permettre aux artistes contemporains, qui ont le talent et les aptitudes necéssaires, de transmettre selon les sensibilités diverses, les informations, afin que l’on perçoive l’art comme vecteur d’humanisme. Au terme des créations, une expostion collective est prévue pour le 17 novembre 2019 au siège de la fondation ‘’La maison de l’artiste’’, en vue de permettre aux professionnels de l’art contemporain et au public curieux de découvrir les œuvres de ces artistes.


A noter que les manifestations socioculturelles du Fara se poursuivent jusqu’au 25 novembre avec des scènes ouvertes à la musique, l’art culinaire, des soirées de contes et légendes, un défilé de mode, une table ronde et débat.

Par Rodéric DEDEGNONHOU, depuis Côte d’Ivoire

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